Résumé et quatrième de couverture
Ce 8 novembre 2024, personne ne l’attend. Pourtant il est revenu. Discrètement. Jésus a choisi la Suisse, à commencer par Lausanne, pour un retour sur notre planète, toujours plus chamboulée par des pandémies qui n’en finissent pas, un climat qui se détraque et une biodiversité qui s’effondre.
Coaché par trois sages de l’Agartha, mystérieux territoire sacré au cœur spirituel de la Terre, l’Envoyé a quelques petites semaines pour dénicher douze nouveaux disciples, de Genève au Jura, à qui il va faire vivre une «grande Expérience», le soir de Noël, sur la mythique prairie du Grütli. Riches de cette initiation, dotés de facultés nouvelles comme le furent les apôtres, ces douze femmes et hommes pourront témoigner qu’un autre monde est possible sur Terre.
Motivation de l’auteur
Inquiet comme beaucoup d’entre nous sur l’avenir des êtres humains, l’auteur fait advenir un Jésus contemporain, venu préparer l’aboutissement réussi de cette humanité perturbée. Jésus qui vient préparer le retour du Christ en gloire: une invitation souriante, inédite… à se renouveler?
Luc 11, 1 (libre adaptation) : Seigneur, ne dit-on pas que le ciel est vide ? Pourquoi prier encore ? Pour Didier Travier, prier c’est confesser notre précarité essentielle.
En revisitant le « Notre Père » l’auteur cherche à saisir comment se rejoignent les espoirs d’un humanisme athée et l’espérance chrétienne.
Les premières lignes de la prière font le constat d’un Dieu absent et désiré : le culte de nos idoles, c’est-à-dire tout ce qui est faussement érigé en valeur absolue et au nom de quoi on asservit, dévoile une proximité étonnante du Notre Père avec le credo de ceux qui ne croient pas.
Le corps est précaire, la volonté est précaire, le désir et la confiance le sont aussi. Prier pour le pain quotidien c’est reconnaître jusque dans la possession notre dépendance essentielle. Mais l’essentiel de la foi se comprend autour du pardon reçu et donné : il s’agit de guérir de l’inquiétude dont l’offenseur se voit coupable et de sortir de l’abîme devant lequel nous place la conscience de notre faute sans renoncer à se juger, ni trouver grâce à ses propres yeux : seule la prière peut briser cet enfermement.
Ce livre qui parle de notre temps, est dense et original, il ouvre des portes.
P.O Lechot et J. F Cottier nous présentent les termes de « la grande bagarre » sur le libre arbitre:
